SOYEZ PAYE POUR

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Nuage noir dans le ciel
Poison de poubelle
Je te respire tous les jours
Dans mes poumons pour toujours

L'homme est le maître de la nature
Pourtant il impose sa dictature
Sans demander l'avis des habitants
Il pollue en les tuant

Un jour viendra, il y aura plus un seul rat
Tous les animaux et végétaux seront plus la
L'homme restera seul sur une planete morte
Il comprendra enfin que la terre était plus forte

Sans ce globe bleu
L'homme ne sera plus heureux
Il sera la derniere espèce
Après tout ce qu'il a fait
Il disparaîtra à jamais !

Auteur : Maos

LA VIE

Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte crédité de 86 400 euros, mais il y a 2 règles à respecter :

1ère règle : tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé
le soir, vous ne pouvez pas tricher ni virer cet argent sur un autre compte, mais
chaque matin la banque ouvre un nouveau compte crédité de 86 400 euros pour la journée;

2ème règle : la banque peut interrompre ce jeu sans préavis, elle peut vous dire
que c'est fini, qu'elle ferme le compte et qu'il n'y en aura pas d'autres...

Cette banque, elle existe, vous l'avez tous, c'est la vie, le temps !
Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86 400 secondes
de vie pour la journée. Le soir, quand on part dormir, ce qui n'a pas
été vécu dans la journée est perdu.

Chaque jour, ça recommence...
Nous vivons avec la règle n° 2 : la vie peut s'arrêter a tout moment !
Alors, que faisons-nous de nos 86 400 secondes quotidiennes ?
La vie est courte, même pour ceux qui passent leur temps à la trouver longue.
Il faut profiter de la vie et des choses qu'elle nous offre. Tout peut être si vite perdu. :

Si j'avais su
Ce que t'avais prévu
Je ne serai pas venue
Te rejoindre en pleine rue

J'avais 12 ans et j'étais bête
J'ai cru que tu étais différent des autres garçons
Que tu m'aimais peut-être
En fait, t'étais encore plus con

Au début, c'était comme dans mes rêves les plus fous
Tu m'as embrassée dans le cou
Tu voulais qu'on marche un peu
Tu m'as pris la main, tu semblais si heureux

Tu m'as emmenée un peu à l'écart du monde,
Dans une petite ruelle toute sombre
Je m'en suis rendue compte trop tard
Mon rêve allait devenir un cauchemar

Tout à coup, tu n'étais plus le même
Tu m'as plaquée contre le mur, fini les 'je t'aime'
Tu m'as dit que t'avais envie de moi
Que je ne pouvais rien contre toi

Tu m'as tenue contre le mur et tu as serré,
Une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier
Je sentais ton souffle rauque dans ma nuque
Tandis que tu m'arrachais ma jupe

Je ne savais pas quoi faire
Ta main toujours sur ma bouche m'obligeait à me taire
J'essayais de m'échapper
Mais tu me tenais avec fermeté

Je sentais mes jambes fléchir
J'ai cru que j'allais mourir
Je te suppliais du regard
mais c'était sans espoir

Ma jupe tombée par terre
Ton jean déjà ouvert
J'étais épouvantée
Mais toi, tu riais

Tu t'es collé contre moi
Il n'y avait plus que ma culotte pour me séparer de toi
A ce moment j'ai prié Dieu de m'évanouir
Pour ne plus entendre tes soupirs

J'ai ressenti une douleur atroce
Tu m'avais pénétrée avec force
Tes mains exploraient chaque parcelle de mon être
Je ne pouvais plus crier, aucun son ne sortait
Tu prenais ton pied, j'étais ton jouet

Quand ça ne t'a plus amusé
Tu m'as retournée
Et t'as recommencé
Par derrière, pour changer

J'ai eu encore plus mal
Je me sentais si sale
Tu m'avais souillée,
Ruiné ma vie à jamais

Quand t'as senti ton plaisir venir
Tu m'as agenouillée devant toi
T'as ouvert ma bouche, y enfonçant tes doigts
Et tu m'y as enfoncé ton dard, sans prévenir

J'avais envie de vomir
J'avais envie de mourir
T'as évacué ton sperme dans ma bouche
Tu m'as forcé à avaler toute la louche

Et puis t'es parti
En me laissant là
Seule, nue et meurtrie
Au plus profond de moi

Tu m'as juste fais jurer
De ne jamais en parler
Disant que t'étais sûr que j'avais aimé ça
Même si je ne l'avouais pas


Je t'aimais, tu sais
Et ma virginité,
Je te l'aurai donnée
Si t'avais pensé à me le demander
Avant de me violer !

ELLE NE POURRA JAMAIS L'OUBLIER
[Voici l'histoire vraie d'une fille qui a été violée]

Je demanderais a toute les personne qui ont un blog,et qui passeront par celui-ci, de bien vouloir mettre ce poème dans un de leur article svp...merci
je l'ai pris du blog : http://dreamergirl.centerblog.net/